
12, c'est le nombre de points inscrits à l'ordre du jour du Conseil communal de ce mardi 19 septembre en séance publique (un point a été remis à plus tard). Le premier concernait la Zone de secours du Brabant wallon. Pour faire le point, le Commandant Philippe Filleul s'était rendu sur place. Objectif : expliquer les modalités et les répercussions financières du service des pompiers sur la commune chastroise ainsi que le fonctionnement de la Zone de secours. Le Conseil a approuvé le projet présenté par le Commandant et voté le point.
Le #conseilcommunal commence à #chastre avec une présentation très pédagogique, par P Filleul, du programme de la zone de secours pic.twitter.com/W8LyaiTVYe
— Hélène Ryckmans (@HeleneRyckmans) 19 septembre 2017
Problèmes à la rue de Corsal
Le premier point de tension lors du conseil a eu lieu lorsqu'il a été question des travaux sur cette voirie. Un premier chantier avait eu lieu sous la précédente législature. Mais des problèmes sont survenus après... Et la facture est aujourd'hui salée. La nouvelle Directrice générale, Stéphanie Thibeaux, a réussi à récupérer 30 mille euros d'un subside régional jamais perçu. Une bonne nouvelle saluée par l'ensemble du conseil.Reste que des travaux supplémentaires sont à prévoir. Et l'addition commence à être importante. Les finances communales ont encore été abordées lorsqu'il a été question de l'attribution des subsides aux organismes culturels et sportifs. L'opposition a notamment reproché à la majorité un manque de transparence quant à ses attributions. Pour info, une Commission communale se tient pour approuver ces subsides.Grosses tensions autour du presbytère de Cortil
400 mille, c'est le prix de vente minimum qu'avait fixé le Conseil communal pour une éventuelle acquisition du presbytère. Mais une offre inférieure a été introduite. Elle s'élève à 375 mille euros. Montant insuffisant pour l'opposition Ecolo qui s'est fendu d'un communiqué dont voici quelques extrait : "Le Conseil a décidé de ne pas accepter d’offre en-dessous de la somme de 400 000 euros. Et voilà qu’on nous demande d’approuver ce 19.09 un changement, suite à une offre reçue : la cure de Cortil pourrait partir pour 375 000 euros. La commune accepterait les conditions de l’offre : des travaux de préservation du bien (bâchage) dès la signature du compromis et, en cas de mérule, le traitement aux frais du vendeur, c’est-à-dire du contribuable chastrois, déjà malmené ces temps-ci...
Cette situation ubuesque est une preuve de plus de l’incompétence de la majorité en place dans la gestion des dossiers financiers et patrimoniaux. Un presbytère du 18e siècle que l’on laisse pourrir, alors que l’on veut le vendre, c’est incompréhensible et parfaitement indécent, alors que la commune va s’endetter pendant 10 ans pour boucher un déficit de plus de 1.500.000 euros".
Mais malgré les nombreuses plaintes des conseillers Ecolo et les tensions lors du Conseil, le point et donc la vente de gré à gré ont finalement été voté à l'unanimité sauf du côté des Verts.Un emprunt auprès du CRAC accepté
Depuis l'arrivée des Libéraux au pouvoir à la Région, les choses ont quelque peu changé concernant la commune de Chastre. Puisque le gouvernement régional ainsi que Valérie De Bue, nouvelle ministre MR, responsable des Pouvoirs Locaux ont accepté en date du 31 août la demande de prêt introduite par la commune auprès du CRAC. Le commune devrait recevoir dans un premier temps un montant d'un million d'euros. Somme qui permettra aux autorités locales de redresser les finances communales qui sont dans un piteux état. Un second montant de 313 mille euros pourrait être ultérieurement versé à la commune si besoin. Du côté de l'opposition, on a exprimé son mécontentement quant aux modalités de l'emprunt. Les opposants ont en effet, estimé que les informations à ce sujet restaient floues. Mathieu BaugnietRecommandations

Bilan positif après quatre mois de contrôles d'accès dans les recyparcs InBW

Léon XIV : un pape "rassembleur" pour les fidèles de Gentinnes

JIVs 2025 : un pré-jeu sous le soleil et l'astrologie

Fête des mères : Les commerçants au cœur des préparatifs

Gabriel Ringlet : "Trump sera mal barré si un Pape américain lui dit 'ça suffit'"
