On savait les relations tendues entre le groupe WAL1 et Ecolo depuis la décision de ce dernier de mettre fin à leur partenariat de douze années et de s'allier avec Avenir communal pour former la majorité qui gouvernera Walhain dès le 3 décembre prochain. Le conseil communal de ce 14 novembre, le dernier de la législature, a plus que jamais exacerbé les tensions au sein de la majorité sortante. En cause, la proposition d'adopter une convention entre la Commune de Walhain et le Royal Wallonia Walhain. Convention qui fait suite à plusieurs mois de relations très compliquées entre la nouvelle direction du club de football et les autorités communales.
165 000€ investis chaque année par la Commune de Walhain pour le Club de football
L'investissement financier de la commune pour le club de foot est important: selon le service Finance de la commune, celle-ci investit chaque année 165 000 euros en faveur du Royal Wallonia Walhain, soit 13 750 euros par mois! Cette somme comprend notamment le personnel mis à disposition gratuitement, la prise en charge des frais de fonctionnement et de la location de terrains. Si Nicole Thomas-Schleich (WAL1), l'Echevine des Sports, souligne l'investissement personnel et financier de Frédéric Davister et Francis Sprimont (futur Echevin des Sports - Avenir communal) dans le club de foot walhinois, la relation de confiance avec la direction du club semble rompue depuis que Frédéric Davister a cédé la présidence du club à Kashama Koka en avril dernier. Dès ses premiers contacts avec les repreneurs en mars, le Collège communal leur a demandé de leur présenter, en détail, leur projet et engagement stratégiques, organisationnels et financiers pour leur Club de football et plus particulièrement pour les jeunes. Une nouvelle convention devait également être approuvée par le Conseil communal - la dernière date de 1997. D'après l'Echevine des Sports, les repreneurs n'ont communiqué que peu d'éléments au Collège malgré ses demandes répétées:- un document reprenant succinctement la stratégie du club:
- la montée en division 1B de l’équipe première
- la stimulation des équipes de jeunes
- le transfert et l’établissement d’une académie de football à Walhain
- un projet de convention d’occupation gratuite des installations communales pour 25 ans, tandis que le club se réserve les bénéfices de la buvette et de l'espace VIP.
Recommandations
Image
Inside the team - Benoît Fouquet-Lapar, président de l'Orneau Badminton Club de Gembloux
Ce lundi, nous revenons sur l'épopée triomphante des U17 provinciaux du FC Walhain. Découvrez également les coulisses du match de l'équipe senior masculine de Walhain, qui lutte toujours âprement pour se qualifier pour le tour final de deuxième provinciale. Le défi était de taille pour les Walhinois qui se mesuraient à Saintes. Des Saintois qui, en cas de succès, s’assuraient le titre de la P2B du Brabant.
Mais ce n'est pas tout ! Plongez dans l'excitation du duel épique pour le sacre en Régionale 1 série B dames de tennis de table, opposant Somzée à la Royale Palette Gembloux. Qui s'adjugera la victoire et les honneurs ? La réponse vous attend.
Et pour couronner le tout, nous accueillons Benoit Fouquet-Lapar, président de l’Orneau Badminton Club de Gembloux, pour revenir sur la sixième édition de leur tournoi réservé aux adultes des catégories 7 à 12. Il nous annoncera également, en exclusivité, l’organisation, par son club, des Championnats de Belgique 2025 de badminton.
Image
Le JT du week-end en langue des signes - Samedi 20 avril 2024
Retour en images sur l'actu de la semaine. Nous évoquerons aussi la journée des familles organisée ce dimanche à Perwez avec nos deux invités : Julie Dams (échevine des festivités) et Mathieu Legros (gestionnaire du centre sportif de Perwez).
Ce programme est interprété en langue des signes.
Image
Invit'et Vous - Amaury Alexandre
Le défi d'Amaury Alexandre ? Décrocher un siège de député régional pour sa formation, DéFi. Le Gembloutois, tête de liste, vient évoquer ses combats en faveur du développement durable. Il vient aussi nous donner son avis sur la crise interne qu'a traversé sa formation.