
Nouveau changement de tête au conseil communal de Walhain. Après Julien Pitsaer (Ecolo) en février, c'est au tour d'Hugues Lebrun (Avenir communal) de démissionner de son poste de conseiller communal. Le Tourinnois habitera en effet bientôt hors des frontières walhinoises, ce qui le force à quitter son mandat avant la fin de la législature. La bourgmestre et tous les membres du conseil ont chaleureusement remercié le conseiller de l'opposition pour son implication dans la vie communale. Il devrait normalement être remplacé par Isabelle Van Bavel, actuellement conseillère de l'Action sociale.
La population scolaire se stabilise dans les écoles communales
+ 11% d'élèves par rapport à 2015: la rentrée scolaire 2016 était un très bon cru pour les écoles communales. Et celle de 2017 n'est pas en reste ! « Après une augmentation record du nombre d'élèves, le défi pour cette année était de le stabiliser » explique Delphine Bricart, la directrice des écoles communales walhinoises. Avec 40 enfants ayant réussi leur CEB et quelques déménagements, le pari n'était pas gagné d'avance. Mais l'objectif est finalement atteint et même légèrement dépassé: 371 élèves fréquentent aujourd'hui les trois implantations.Une motion unique en Wallonie pour une réflexion sur la légalisation de l'humusation
La séance du conseil communal s'est clôturée par le vote à l'unanimité d'une motion, unique en Wallonie, visant à inviter le législateur wallon à analyser l'éventuelle légalisation de l'humusation au même titre que le sont déjà l'inhumation ou l'incinération. L'humusation est un processus contrôlé de décomposition des morts par des micro-organismes dans un compost composé de broyats de bois. Il permet de transformer la dépouille mortelle en humus sain et fertile. Un procédé beaucoup plus écologique que les autres modes de sépulture. La motion fait suite à la demande de 3 Walhinois ayant sollicité l'humusation comme acte de dernière volonté. "La commune offre des services publics. Il est important que les citoyens puissent avoir le service qu'il souhaite" a expliqué la bourgmestre, Laurence Smets (WAL1). Le groupe Avenir communal, plus réservé, a demandé que la motion ne laisse pas entendre un avis favorable de la part du conseil pour l'humusation mais sollicite simplement une analyse. Demande qui a été retenue. Blandine RansRecommandations
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Corroy-le-Château : les riverains de la N29 attendent toujours "leurs" travaux
Tous les feux sont au vert pour enfin sécuriser le tronçon de la N29 à la sortie de Gembloux. Mais les riverains ne voient toujours pas venir les engins de chantier. Et les travaux en cours sur la N4, à Lonzée, n'arrangent rien.
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Le parking de l'Hôtel de Ville de Gembloux bientôt payant : "Il faut assurer une rotation des véhicules", insiste le bourgmestre
Du changement à venir pour le stationnement à Gembloux. Le parking sous l'Hôtel de Ville va prochainement devenir payant. Il est, selon la Ville de Gembloux, saturé par des véhicules ventouses.
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Nuciculture : une société franco-belge qui valorise la noix
Depuis neuf jours, la récolte des noix a commencé. À Gembloux, c’est le cas chez nOk, une marque franco-belge qui propose des produits à base de noix bio. La culture du noyer, autrefois discrète et familiale, est aujourd’hui en plein développement.
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Walhain : Le Fil de l'Art réunit public et artistes
Ce week-end, la commune de Walhain s'est animée au rythme du parcours d’artistes Le Fil de l’Art. Une initiative rassemblant plus d’une centaine d’exposants dans 37 lieux de la commune. Le public était présent en nombre pour rencontrer ces créateurs.
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Vendanges : le vignoble "La Garenne" à Perwez a le sourire en 2025
Les vendanges continuent de battre leur plein. Ce week-end, c’était au tour du vignoble "La Garenne" à Perwez de passer à l’action. Que ce soit pour le riesling ou le pinot noir, le millésime 2025 laisse entrevoir une très belle cuvée.
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Pro Velo quitte la gare de Gembloux, après 11 ans au service des cyclistes
Après 11 ans d'activité, l'antenne gembloutoise de Pro Velo fermera ses portes, le 1er décembre. L'ASBL a préféré ne pas répondre à l'appel de la SNCB pour conserver son local à la gare. Les exigences du nouveau marché étaient trop contraignantes.