Les prix du marché immobilier sont particulièrement élevés en Brabant wallon et Walhain n'échappe pas à la tendance. Faciliter l'accès à la propriété pour permettre aux jeunes Walhinois de rester sur le territoire communal est donc une priorité que s'est fixée la nouvelle majorité. Un première mesure en ce sens a été adoptée lors de la séance du conseil communal lundi soir. Elle prend la forme d'une prime complémentaire à la prime à la cohésion territoriale octroyée par la province du Brabant wallon.
Un montant égal à celui de la prime du Brabant wallon
Le montant de la prime communale sera identique à celui de la prime du Brabant wallon, soit 1€ par mois et par tranche d'emprunt d'un montant de 1000€ avec un maximum de 100€ par mois. Le règlement relatif à l'octroi de la prime se calque également sur celui de la Province. Le demandeur doit remplir plusieurs conditions. Il faut tout d'abord déjà bénéficier de la prime à la cohésion territoriale du Brabant wallon. Il faut également satisfaire à l'une des conditions suivantes:- Habiter la commune de Walhain de façon ininterrompue depuis 5 ans au moment de l'introduction de la demande;
- Avoir habité la commune de Walhain pendant une période cumulée de minimum 10 ans;
- Avoir un de ses parents au 1er degré qui réside dans la commune de Walhain de façon ininterrompue depuis 10 ans au moment de l'introduction de la demande.
Probablement une dizaine de demandes par an
La prime communale ne pourra être demandée que par les jeunes qui se verront octroyer la prime provinciale après le 1er février 2019, date de l'entrée en vigueur du règlement relatif à l'octroi de cette nouvelle prime. La Province du Brabant wallon recevrait chaque année environ une dizaine de demandes pour la prime à la cohésion territoriale sur le territoire de Walhain. C'est donc sur cette base que les autorités communales vont prévoir un premier budget. Il s'agit d'une enveloppe fermée. Les premiers arrivés seront donc les premiers servis. Le budget sera adapté au fil des ans en fonction des demandes. L'opposition a approuvé cette prime lors du conseil communal soulignant le fait qu'elle était inscrite dans le programme électoral de WAL1. Seule Isabelle Denef-Gomand s'est abstenue lors du vote. Tout comme Nicole Thomas-Schleich, la conseillère WAL1 a dit regretter que la majorité n'aie pas prioritairement diminué le précompte immobilier. Une diminution qui profiterait à davantage de personnes. Le bourgmestre Xavier Dubois (Avenir communal) a réaffirmé la volonté du Collège de diminuer prochainement le précompte immobilier. Blandine RansRecommandations
Image
Le parking de l'Hôtel de Ville de Gembloux bientôt payant : "Il faut assurer une rotation des véhicules", insiste le bourgmestre
Du changement à venir pour le stationnement à Gembloux. Le parking sous l'Hôtel de Ville va prochainement devenir payant. Il est, selon la Ville de Gembloux, saturé par des véhicules ventouses.
Image
Nuciculture : une société franco-belge qui valorise la noix
Depuis neuf jours, la récolte des noix a commencé. À Gembloux, c’est le cas chez nOk, une marque franco-belge qui propose des produits à base de noix bio. La culture du noyer, autrefois discrète et familiale, est aujourd’hui en plein développement.
Image
Walhain : Le Fil de l'Art réunit public et artistes
Ce week-end, la commune de Walhain s'est animée au rythme du parcours d’artistes Le Fil de l’Art. Une initiative rassemblant plus d’une centaine d’exposants dans 37 lieux de la commune. Le public était présent en nombre pour rencontrer ces créateurs.
Image
Vendanges : le vignoble "La Garenne" à Perwez a le sourire en 2025
Les vendanges continuent de battre leur plein. Ce week-end, c’était au tour du vignoble "La Garenne" à Perwez de passer à l’action. Que ce soit pour le riesling ou le pinot noir, le millésime 2025 laisse entrevoir une très belle cuvée.
Image
Pro Velo quitte la gare de Gembloux, après 11 ans au service des cyclistes
Après 11 ans d'activité, l'antenne gembloutoise de Pro Velo fermera ses portes, le 1er décembre. L'ASBL a préféré ne pas répondre à l'appel de la SNCB pour conserver son local à la gare. Les exigences du nouveau marché étaient trop contraignantes.
