Ils font partie des victimes collatérales de la crise sanitaire dont on parle peu: les autocaristes vivent une situation particulièrement compliquée. A l’arrêt pendant le confinement, ils peuvent reprendre leurs activités. Toutes les places peuvent être occupées dans les autocars. Problèmes: la clientèle ne revient pas. Beaucoup d’incertitudes persistent pour les mois à venir. Nous avons rencontré le Perwézien Patrick Buchet, autocariste. En 25 ans de métier, il n’a jamais connu une situation aussi catastrophique.