
Le Royal Football Club Perwez, le Club sportif de la Dyle et le Club de Tennis de table de Perwez vont bénéficier de la diminution du prix des locations d'infrastructures communales. Les autorités communales ont en effet décidé de diminuer le montant de leur location proportionnellement aux périodes d'inoccupation.
Une diminution qui n'est pas suffisante aux yeux des conseillers de la minorité. "Il faut annuler tous les loyers dûs jusqu'au 30 juin. Plus de souper, plus de tournoi, plus de sponsoring... Les clubs sportifs sont en difficulté. Il faut les soutenir" a défendu André Antoine (DRC+). "Certains sports continuent au moins une partie de leurs activités. Ce ne serait pas équitable de supprimer les loyers alors que la majorité des clubs comme le club de tennis par exemple, continue de payer une location à l'heure" lui a répondu le bourgmestre (Ensemble!). "Par ailleurs, deux des trois clubs concernés par la diminution de loyer n'ont même pas demandé d'aide. Le subside de la commune est maintenu et supérieur à la location. Si des clubs devaient être en réelle difficulté, il y aura une analyse au cas par cas" a complété Jordan Godfriaux.
"Je parlais bien sûr de la gratuité pour tous les clubs sportifs. Mais vous refusez notre proposition, comme toujours, parce qu'elle émane de l'opposition. Ce n'est pas la suppression de ces recettes qui vont mettre à mal les finances de la commune, d'autant que Perwez va prochainement percevoir 1,3 million d'euros de la vente de Brutele. Tu es un bourgmestre boursicoteur" s'est agacé l'ancien bourgmestre. "Ce sont des propos démagogiques et irresponsables. Lors de la présentation du budget 2021, vous nous disiez que les finances étaient catastrophiques, que nous allions dans le mur et maintenant, vous venez avec de nombreuses propositions de dépenses..." lui a répondu Jordan Godfriaux.
Querelles autour de l'urgence d'une proposition d'aide financière aux commerçants
Les hostilités entre majorité et opposition autour de l'aide à apporter aux secteurs qui souffrent de la crise ont démarré dès le début du conseil communal jeudi soir. L'opposition souhaitait proposer en urgence un point concernant l'octroi de primes financières à une soixantaines d'acteurs économiques actifs dans l'entité:- 2500 euros pour ceux qui souffrent d'une fermeture obligatoire jusqu'au 12 février inclus.
- 3500 euros pour ceux qui souffrent d'une fermeture et dont le chiffre d'affaires a connu une baisse de 60% par rapport à la même période en 2019.
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