Faire tomber la barrière de la langue pour que l’accueil des exilés ukrainiens se passe au mieux. C’est le but de Joëlle Massin, professeure de français bénévole, depuis quelques jours à peine. Equipée de Google Traduction et de languettes avec des bouts de phrases en français et en ukrainien, elle donne des cours avec les moyens du bord. Face à des élèves concentrées et en demande d’apprentissage.