Consommateurs, médias, ONG,… ils n’hésitent plus à remettre en question les pratiques des agriculteurs. Parfois de manière extrême, comme le montrent des campagnes de dénigrement contre l’élevage, la culture intensive ou la consommation de viande. C’est ce qu’on appelle « l’agribashing ».
Pour apprendre aux agriculteurs à répliquer aux attaques dont ils sont victimes, une seule solution : la communication positive. Voilà pourquoi des communicants spécialisés n’hésitent pas à donner, depuis plusieurs années, des séminaires pour s’intégrer à l’univers des réseaux sociaux.
Lors de la traditionnelle journée DiversiFERM, hier à Gembloux, un débat était consacré à la question.