2 commentaires sur “Bilan éolien après les grands vents”

1. MARRANT : pendant l’interview de Bruno Claessens (seconde 39) qui vente la production éolienne record, LES EOLIENNES SONT A L’ARRET. Comme quoi, même quand on veut la travestir, la réalité finit toujours par triompher… Ou alors, on les a mises à l’arrêt pour éviter qu’elles fassent du bruit pendant l’interview ?

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2. Plus il y du vent, plus les Belges s’appauvrissent
   « En ce qui concerne l’éolien, on a de quoi se réjouir. Les éoliennes belges ont produit 248 GWh pendant la semaine du 7 janvier 2015. »
   Si au lieu d’une seule semaine venteuse, le vent avait soufflé A SON MAXIMUM pendant 52 semaines, la production aurait été de 13 TWh et aurait généré 13% de la consommation annuelle totale de la Belgique de 100 TWh. Mais le vent ne souffle JAMAIS à son maximum pendant 52 semaines, comme le laisse sous-entendre ce reportage.
   Par contre, pendant cette semaine venteuse, les promoteurs ont reçu 248.000 certificats verts. Suivant des règlements adoptés pour l’arnaque au renouvelable, ce sont les consommateurs qui devront payer ces CV (65€) par l’augmentation de prix de l’électricité dans leurs factures futures, soit 16 millions d’euros.
   Comme le vent ne souffle à son maximum que pendant l’équivalent de 8 semaines par an, l’éolien aura fait perdre 128 millions d’euros par an à la Belgique (16 millions x 8 semaines)(par rapport à de la génération nucléaire ou au charbon). Pour ce prix, la Belgique aurait pu se payer deux événements comme « Mons 2015, Capitale européenne de la Culture ».
   Plus on utilise une ressource déficitaire, plus on perd de l’argent. Plus il y du vent, plus les Belges s’appauvrissent. Il n’y a que les promoteurs éoliens, les vendeurs de gaz russes et les dogmatiques de l’alarmisme climatique qui ont de quoi se réjouir.
   Selon le site « leseoliennes.be »

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